C’est peut-être l’une des dernières questions que l’on se pose, quand on réfléchit à notre impact sur l’environnement, et pourtant. Si cette question est mal venue pour certains, elle est d’autant plus importante pour d’autres.
En France, le secteur du funéraire est très réglementé et a observé peu de grandes innovations depuis le retour de la crémation.
De plus en plus de personnes, confrontées à l'organisation d'obsèques, jugent cet événement trop impersonnel, trop cher, mais aussi trop polluant.
Alors depuis une vingtaine d'années, les initiatives qui proposent de limiter cet impact se multiplient. Du choix du cercueil, de l’urne, des fleurs, jusqu’aux vêtements du défunt, est-il possible d’être écolo jusque dans sa dernière demeure ?