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C’est peut-être l’une des dernières questions que l’on se pose, quand on réfléchit à notre impact sur l’environnement, et pourtant. Si cette question est mal venue pour certains, elle est d’autant plus importante pour d’autres.

 

En France, le secteur du funéraire est très réglementé et a observé peu de grandes innovations depuis le retour de la crémation.

De plus en plus de personnes, confrontées à l'organisation d'obsèques, jugent cet événement trop impersonnel, trop cher, mais aussi trop polluant.

 

Alors depuis une vingtaine d'années, les initiatives qui proposent de limiter cet impact se multiplient. Du choix du cercueil, de l’urne, des fleurs, jusqu’aux vêtements du défunt, est-il possible d’être écolo jusque dans sa dernière demeure ?

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Après l’écoute, plongez dans la lecture du web-documentaire, et découvrez les problématiques écologiques qui se posent derrière les trois lieux suivants : le cimetière, le crématorium et le lieu alternatif.

 

Vous y trouverez du contenu complémentaire à l’audio, sous forme de texte, documenté de photos, de vidéos, et de graphiques. Dans chaque partie, des icônes vous permettront de vous déplacer dans la lecture, de faire apparaître un nouveau contenu ou de voyager entre les différentes pages.

« Allo la mort, ici la Terre » est une série de trois épisodes à écouter comme un podcast.

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découvrir l'enquête

« Une fois mort,

est-ce que l'on

pollue encore ? »

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Pour écouter le podcast, vous pouvez soit cliquer sur l'icône « Play » de chaque épisode directement, ou bien cliquer ici, pour choisir la plateforme d'écoute de votre choix (Spotify, Google podcast, Pocket Casts, Radio Public, Overcast, Breaker, ou Anchor), ce qui vous permet par exemple d'enregistrer l'épisode pour l'écouter plus tard.

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Aujourd’hui en France, lorsque l’on prépare des obsèques, on a le choix entre deux méthodes : l’inhumation ou la crémation.

 

L’inhumation consiste à choisir un cercueil pour le défunt, ainsi qu’un emplacement dans un cimetière, pour qu’il y soit enterré. Il y reposera pour une durée déterminée selon le type de concession achetée à la commune : 5, 15, 30, 50 ans, ou même à perpétuité. Cette méthode est actuellement la plus choisie en France : elle représente près de 63 % des décès. 

 

À l’inverse, la crémation consiste à placer le défunt dans un cercueil, qui sera ensuite brûlé dans le four d’un crématorium. Bien que ce procédé soit encore minoritaire, il est en hausse constante depuis cinquante ans.

 

Mais si en France, seulement deux méthodes sont possibles, certains pays autorisent d’autres techniques, considérées comme moins nocives pour l’environnement.

 

Pour la méthode de l’inhumation, la pollution est principalement concentrée dans un cimetière. La crémation, elle, nécessite un crématorium, qui va rendre cette pollution volatile. Enfin, avec les autres techniques développées à l’étranger, il y aura le besoin de créer des lieux alternatifs. À travers ces trois lieux, découvrez les impacts de chaque méthode sur l’environnement.

 

Cliquez sur les numéros pour découvrir chaque lieu.

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